Jamet DE SÉVIGNÉ Âge : 701210–1280
- Nom
- Jamet DE SÉVIGNÉ
- Titre
- Seigneur de Sévigné
- Profession
- Armiger (Équivalent de Chevalier)(1261)
- Profession
- Miles (Seigneur militaire)(1279)
- Prénom(s)
- Jamet
- Nom de famille
- DE SÉVIGNÉ
Naissance | 1210 Publication : Auteurs : Alphonse-Victor Angot, Ferdinand Gaugain,Éditeur : Goupil. 1900-1910 Qualité des données : source secondaire |
Naissance d’un fils #1 | Guillaume I DE SÉVIGNÉ 1249 (Âge 39) Publication : Auteurs : Alphonse-Victor Angot, Ferdinand Gaugain,Éditeur : Goupil. 1900-1910 Qualité des données : source secondaire |
Décès | 1280 (Âge 70) Publication : Auteurs : Alphonse-Victor Angot, Ferdinand Gaugain,Éditeur : Goupil. 1900-1910 Qualité des données : source secondaire |
Famille avec les parents - filiation prouvée dans le dictionnaire de la mayenne |
père | |
lui-même |
Jamet DE SÉVIGNÉ Naissance : 1210 — Bretagne Décès : 1280 — Bretagne |
Jamet DE SÉVIGNÉ + … … |
lui-même |
Jamet DE SÉVIGNÉ Naissance : 1210 — Bretagne Décès : 1280 — Bretagne |
fils |
Guillaume I DE SÉVIGNÉ Naissance : 1249 39 — Bretagne |
La famille de Sévigné est une famille de noblesse bretonne, dont la personnalité la plus connue est la marquise de Sévigné.
Les Sévigné
Jamet de Sévigné est le fils de Gabillard de Sévigné
Il s'agit d'une famille de vieille et bonne noblesse bretonne, dont le berceau est la seigneurie de Sévigné en Gévezé. Selon Roger Duchêne, les Sévigné n'ont pas de titre nobiliaire français, mais ont fini par sacrifier à l'usage en se faisant appeler barons.
L'ancien château des Rochers appartenait en 1270 à Jamet de Sévigné, chevalier, seigneur des Rochers. Seul Renaud de Sévigné, en janvier 1657, obtint du roi Louis XIV l'érection en comté de sa terre de Montmoron, qu'il tenait de son épouse. Les lettres d'érection étaient accordées à notre ami et féal conseiller ordinaire en nos conseils, Regnaud de Sévigné, sieur de Montmoron, du Coudray, Chemeré, la Guimbergère, le Pont-Rouault, la Boissière, et doyen des conseillers de nostre cour de Parlement de Bretagne.
La famille prétendait avoir été aux croisades avec Guillaume de Sévigné, contemporain de saint Louis.
La terre de Sévigné
La terre de Sévigné relevait en première mouvance de la baronnie de Vitré. Cette maison remontait à Gabillard de Sévigné vivant en 1190
Jamet, seigneur de Sévigné, vivait en 1251, donné haut et puissant seigneur de la paroisse d'Etrelle donné aussi seigneur en 1280 de Montmoron en la paroisse de Rimon, lieu qui disposait du droit de haute justice, il fut père de Olive de Sevigné femme de Thibaut Seigneur de la Riviere & du Gué ainsi que Guillaume Ier de Vitré, croisé avec Pierre Rabaud en 1248.
Il vivait encore en 1300, il eut pour fils : Guy Ier de Sévigné, en 1312, marié à Isabeau d'Acigné fille de Pierre seigneur d'Acigné, lui même fils d'Alain et de Mathilde de Montfort en Bretagne
Origine des généalogies de la maison de SÉVIGNÉ
Une généalogie est extrait du tome V (folio 167 et 168) d'un recueil de pièces manuscrites intitulé : D. Morice, Mélanges généalogiques de Bretagne (Bibliothèque impériale, fonds des Blancs-Manteaux, n° 76 E).
Nous l'avons comparé à une généalogie imprimée qui se trouve aux pages 84-89 de l'Histoire généalogique de la maison des Budes, par J. le Laboureur (Paris, l656, in-folio), laquelle est placée à la fin de l'Histoire du maréchal de Guébriant, du même auteur.
La Bibliothèque impériale possède, de cet ouvrage de le Laboureur, un exemplaire où la généalogie de la maison de Sévigné est annotée de la main de Ch. R. d'Hozier, qui en tête de ses annotations a écrit ces mots : "J'ai redressé toute cette généalogie sur l'extrait des titres que M. l'abbé de Colanges, oncle de Mme de Sévigné, m'a communiqué, l'an 1674. » On peut voir au tome I, p. 531 et 532 ce que Mme de Sévigné dit de ces titres, dans une lettre de la fin de 1668. Il avait fallu les produire en Bretagne; aussi se vantait-elle à Bussy d'être bien instruite de la noblesse des Sévigné.
L'une et l'autre généalogie parlent d'un procès-verbal authentique de l'an 1486, où il est fait mention de plusieurs titres des années 1075, 1140, 1150, etc., qui depuis se sont perdus par l'embrasement du château du Buron, et d'après lesquels le procès-verbal témoigne « que les seigneurs de Sévigné étoient de grande extraction, atteignant de lignage à plusieurs barons, qu'ils étoient seigneurs bannerets, qu'ils tenoient en moyen sept chevaleries; que l'ancien château de Sévigné étoit fortifié, qu'il avoit toujours été en guerre contre les Anglois, etc. »