Page 19 - Dictionnaire Généalogique des Familles Canadiennes - Volume II
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A la suite du mot Québec, article de Couillard, on voit un chiffi*e mis comme un
exposant algébrique. C'est le signe abréviatif dont il a été question plus haut, et qui
remplace le nom de Québec partout où celui-ci devrait être exprimé, dans le cours
du même article. Ainsi 6 ' wi ' veulent dire baptisé ou marié à Québec. Dans le cours
d'un article, le même lieu est toujours remplacé par le même ohifire, mais il peut
l'être par un chiffre différent d'un autre article. Comparez les deux articles de
Couillard et d'Hébert. Les enfants issus du mariage sont indiqués par leui-s prénoms,
avec la date et le lieu du baptême, du mariage, de la sépulture le nom de la personne
;
épousée est aussi donné.
Cet ensemble forme un degré généalogique. Les chiffres I ou II, placés avant
le prénom, en tête de l'article, indiquent que celui qui forme tige la forme au pre-
mier, ou au second degré au Canada en d'autres termes, qu'il est la souche pre-
;
mière ou seconde de la famille.
En étudiant une famille, on a souvent besoin de connaître ceux de qui descen-
dent les chefs de cette famille, pour éviter toute confusion.
En effet, deux familles, étrangères l'une à l'autre, mais du même nom, peuvent
se développer parallèlement. Je trouve au second degré Guillaume Hébert et Ignace
HHébert ; mais le premier est fils de Louis I, et l'autre, d'Augustin I. y a d'autres
mo^'ens de contrôle qui seront indiqués; mais celui-ci est le plus simple et le plus
rapide. H. Y.