Page 15 - Dictionnaire généalogique des familles canadiennes depuis la fondation de la colonie jusqu'à nos jours Volume VII (ROB - ZIS)
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En moyenne chaque bulletin contient dix actes (1) ou dates, ce qui produit un
chiffre total de 1,226,230 actes.
J'ajouterai un dernier détail que je destine aux amateurs de statistiques.
En rangeant les bulletins par ordre alphabétique, c'est-à-dire par la première
lettre qui commence chaque nom de famille on trouve les nombres suivants :
Bulletins. Bulletins. 680 V.. 3,258
9,706 101
A 3,413 H 4,145 W. 5
B 15,094 i 149 543 54
7,288 X..
C 11.289 J 2,743 4,248 Y.. 122,623
70 4,690
D K13,624 Z...
14,324 16
E 496 L 9,793 Total
F 4,056 M 1,249
G 11,565 N
Soit 1,220,000 dates de baptêmes, mariages et sépultures.
Jo ne puis clore cette seconde série du Dictionnaire généalogique sans rappeler
qu'une grande partie du mérite de cet ouvrage revient à M. J. C. Taché, chevalier
de la Légion d'Honneur, ancien député ministre de l'Agriculture et des statistiques.
L'autorité de sa position officielle, et ees conseils éclairés m'ont été d'un grand
secours. Aussi j'avais cru ne pouvoir mieux lui témoigner ma reconnaissance qu'en
lui dédiant mon premier volume. M. Taché, par des motifs d'une haute considéra-
tion et d'une modestie que je devais respecter, refusa ce qu'il appelait un honneur,
mais ce qui était une faveur pour moi (2). Je pus au moins placer sou nom au
frontispice de mon ouvrage, en donnant la généalogie de sa famille.
C'est ce même nom que je suis heureux de mentionner aujourd'hui. Avec les
mêmes sentiments de reconnaissance, je l'inscris à la fin de ce Diciionnaire^ comme
un sceau qui en authentiquera les derniers feuillets.
En me séparant de MM. Senécal et Fils, je ne saurais oublier le concours intelli-
gent qu'ils m'ont donné dans l'exécution matérielle de mon ouvrage. Leur bonne
volonté, je pourrais dire leur dévouement, ne s'est pas démentie un instant depuis
IStl, où le premier volume a été publié jusqu'à aujourd'hui que se termine l'impres-
sion du dernier.
Il n'est pas nécessaire d'être initié aux secrets et aux difficultés de l'imprimerie
pour reconnaître que leur œuvre est un monument élevé à l'industrie nationale.
Montréal, 1er mai 1890.
C. Tan ouAY, ptre.
C. S. de S. S.
(I) Cette moypnne d'nprt^f: inqnolle chaquH r,nnil!i; est composôe de quatre personnes, pèche
par dôfiiiit plutôt que par excès.
(2) Voyez la lettre p. XI.
